mardi 25 septembre 2018

Carpocapse du pommier

Carpocapse du pommier

Le carpocapse est communément appelé le “ver des fruits”. Il se reconnait à ses ailes postérieures grisâtres ornées à leur extrémité d’une tâche brune bordée de lignes dorées. Poiriers : le degré de sensibilité varie selon les variétés. Les variétés d’hiver (Conférence, Doyenné du Comice, etc.) sont sensibles surtout avec la deuxième génération de carpocapse , mais peuvent être attaquées avec la première. La chenille du carpocapse , improprement appelée ver , creuse des galeries dans les pommes et les poires, causant ainsi des dommages considérables aux récoltes du verger.


Symptômes Discret, le carpocapse vole au crépuscule. Ce petit papillon gris brun, dont la longueur ne dépasse pas millimètres, est la terreur des arboriculteurs, l’ennemi numéro un des producteurs de pommes et de poires. Pommiers , poiriers, pruniers.


Des arbres et arbustes fruitiers de qualité selectionnés par nos experts horticoles. Créez le jardin qui vous ressemble. Découvrez la sélection de fruitiers Willemse France. Qualité et Longévité Garanties ! Mieux lutter contre le carpocapse et autres tordeuses du pommier Ravageur redoutable des pommiers , le carpocapse est le ravageur ennemi numéro des arboriculteurs. Il est parfois accompagné d’autres tordeuses qui rendent les fruits impropres à la consommation et compliquent la lutte insecticide.


Les chenilles se transforment en chrysalides, puis les papillons apparaissent, de début avril à juin selon les régions. Leur sortie s’échelonne sur un ou deux mois, mais ensuite tout va très vite. Ce sont les chenilles (rosées à tête légèrement brune) qui sont spécialement voraces et dangereuses pour les vergers.


Des solutions et des réflexes écologiques existent pour limiter les dégâts. En effet, les vers sont assez courants sur les poiriers, les pommiers ou encore les châtaigniers. Ce petit ver est en réalité un papillon dont la larve s’en prend aux poires, aux noix et bien sûr aux pommes.


Carpocapse du pommier

Mais connaissez-vous le carpocapse ? Cette larve est capable de détruire des récoltes entières ! Mais pas de panique, voici quelques solutions pour lutter contre le ver des fruits. Plus produit :-Durée longue de mois -Ravageur ciblé : Carpocapse des pommes et des poires-Produit non toxique Conservation : Si la capsule est en attente d’utilisation, vous devez la conserver au réfrigérateur, c’est-à-dire entre 3°C et 5°C. Au début du printemps, placer des pièges Delta à phéromones spécifiques de l’espèce de carpocapse.


Ces pièges attirent les mâles. Ils permettent de capturer une partie de la population de papillons qui ne se reproduiront pas mais aussi de détecter les premiers vols d’adultes et ainsi de surveiller et de traiter jours après. Veiller à poser ces pièges sur les branches charpentières.


Dans la catégorie des tordeuses, ou lépidoptères ravageurs des fruits, la plus connue est Cydia pomonella, le carpocapse des pommes et des poires. Il s’attaque occasionnellement aux cognassiers. Les adultes, issus des œufs de l’année précédente, commencent à apparaitre de mi-Avril à mi-Mai quand les températures de jour moyennes atteignent les 15°C. On le nomme aussi ver de la pomme à cause de l’aspect des fruits attaqués, mais il s’agit en fait d’une chenille de papillon.


Capsule de phéromones contre le carpocapse des pommes. La capsule de phéromones permet de lutter contre le carpocapse des pommes (Cydia pomonella) de manière naturelle et efficace. Les phéromones attirent les mâles qui sont capturés dans le piège.


L’accouplement, la ponte des œufs et donc les dégâts sont ainsi évités. On peut repérer ce petit papillon aux ailes bigarrées de gris et de brun sombre (entièrement gris chez le carpocapse du Prunier), au crépuscule alors qu’il volette autour des jeunes fruits afin d’y déposer ses œufs fin avril (prune) ou fin mai (pomme et poire) lorsque la température de nuit atteint 14°C puis de nouveau en juin (prune) ou juillet. Le Carpocapse et son cycle de vie.


Les maladies d’un pommier sont généralement de deux ordres : il s’agit bien souvent d’une maladie fongique (oïdium, mildiou, moniliose, tavelure…) ou d’un ravageur (pucerons, sésie, carpocapse…).

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